« Véritable "chlorophile", je les aime tous, sauf un. Mares glauques art nouveau, affiche de Matrix, mousses en camaïeu, mantes et perruches. Et surtout ces feuillages noirs des soirs d'été ; y persiste toujours un peu de vert, œuvre d'une rétine herbivore. » (Crisyx)
« La mort, je l'associe plus à la nuance tabac de l'humus qu'au noir, trop fertile, car je compose cette phrase en mode nuit d'encre : paupière close et criblée de "phosphènes" (ces poussières de corail qui scintillent dans l'abysse d'une cartouche Parker). » (Crisyx)
« Fumer tue ! Ne pas consumer le beau brun-roux du tabac à rouler ! Imaginer sa vie : la plante dans l'humus humide, le séchage des feuilles, nuance après nuance. Marron, mal-aimé des sondages, sent aussi le rapé de cannelle et le café (couleur Gainsbourg). » (Crisyx)
« ? Parce que chez moi, le blanc n’est jamais vide — c’est le canevas de la perfection, le souffle sacré avant la prise de parole, la promesse d’un moment maîtrisé et lumineux. » (Sultan Horsini Nassim)
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